ça m’a pas fait rire !
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15 août 2024
28 avril 2024
28 décembre 2023
BEN VOYONS
Lu : un individu cambriole le 24 décembre une maison parce qu’il n’avait pas pu faire de cadeaux à ses enfants ! Où y a de la gène y a pas de plaisir !
6 décembre 2023
22 novembre 2023
24 mars 2023
Sans frite
Il avait un regard d’obsédé dit la dame au joli jupon volant !
Le désir au milieu du visage, m’enfaim !
11 mars 2023
3 janvier 2023
Enchaînée
TF1 la chaîne toujours la plus regardée, comme dirait quelqu’un : « Pas d’espoir pour l’Humanité ! »
1 décembre 2022
Allô maman nature
Lu sur msn : » Se débarrasser des mauvaises herbes de manières naturelles »
Il n’y a rien qui vous choque dans cette phrase ?
T’as l’embarras du choix mais sans faire exploser la planète s’il te plaît !
Et dame nature encore en conflit avec ce Dieu qui a planté ce sapien dévastateur dans sa terre !
3 novembre 2022
Les goulus du bien-être
ou les affamés de pognon
Libé : Le gourou est un animal qui vit avec son temps. Il évolue sur les pourtours de la société et exploite ses questionnements. La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes), dans son rapport d’activité 2021 rendu ce mercredi, en liste un panel très divers. Il y a donc les gourous «masculinistes», les missionnaires de la théorie du féminin sacré, les gourous yogi, naturopathes, antivax, et autres chamans. Dans le document, on remarque, en plus de la persistance des phénomènes sectaires multinationalisés (église de scientologie, témoins de Jéhovah, anthroposophie, etc.), la montée en puissance des pseudos-guérisseurs et vrais arnaqueurs liés à la santé, qui déploient leur emprise et font germer leurs pratiques ésotériques sur le terreau de théories conspirationnistes – une tendance lourde selon le rapport.
En tout et pour tout, la Miviludes a dénombré, en 2021, 4 020 saisines, près du double par rapport à 2015 et en hausse de 33% en un an. Sur l’ensemble de ces saisines, 396 impliquent directement ou indirectement des mineurs ; 744 concernent la santé, la majorité pour des pratiques de soins dites non conventionnelles, dans un contexte de crise sanitaire. «Il est indéniable que la crise engendrée par le Covid-19 a déstabilisé de nombreuses personnes en perte de repères dans une société complexe, interconnectée où l’information côtoie la désinformation», pointe le rapport.